Ce diaporama comprend une démonstration et explication du champ électromagnétique artificiel destructeur auquel vous vous exposez avec un panneau infrarouge proche de votre système nerveux, hormonal et mitochondrial.

Les photons naturels naissant au coeur du soleil lors de la fusion nucléaire

Dans le cœur solaire, deux protons (noyaux d’hydrogène) fusionnent pour former du deutérium puis un hélium-3 puis de l’hélium (hélium-4).

La différence de masse avec les protons initiaux est convertie en énergie selon l’équation d’Einstein : E = mc2

Cette énergie est émise sous forme de photons gamma très énergétiques. Ces photons gamma freinés par des milliards de collisions avec des électrons perdent de l’énergie pour devenir principalement des photons dans le spectre visible, infrarouge et ultraviolet.

Ce sont ces photons qui informent les cellules,

pas ceux des LED…

Les photons artificiels des LED naissent dans une puce d’ordinateur

Les panneaux LED (Light-Emitting-Diode) produisent des photons artificiels grâce à un processus électronique appelé électroluminescence.

Une LED est la juxtaposition de deux semi-conducteurs, un P et un N. Lorsqu’un courant électrique est appliqué, des électrons de la couche N traversent la jonction et se recombinent avec des trous dans la couche P. Lors de cette recombinaison, les électrons excités perdent leur excès d’énergie sous forme de photons. La longueur d’onde (et donc la couleur) des photons dépend du matériau du semi-conducteur.

Une LED ne reproduit pas la fusion nucléaire ni le cycle naturel. Contrairement au soleil : pas de protons, pas de deutérium, pas d’hélium, pas de signal continu, pas d’évolutivité dans le temps et l’espace…

Le panneau LED n’a pas d’évolutivité dans le temps et l’espace

L’évolution du spectre solaire dans le temps et dans l’espace est essentielle pour réguler les rythmes biologiques et influencer des processus comme la thermorégulation, la réparation cellulaire, la synchronisation circadienne, la faim, la soif, les hormones sexuelles, la dopamine, et une liste longue comme celle des effets secondaires des lunettes contre le soleil.

Les sources artificielles (panneaux LED pour augmenter les fonctions mitochondriales, lampes LED anti-dépression, luminettes) ne reproduisent pas cette évolutivité. Leur spectre fixe sans contexte temporel désynchronise nos horloges circadiennes surtout lorsqu’il sont utilisés au mauvais moment de la journée, par exemple 30 à 60 minutes avant le lever du soleil et après le coucher du soleil, période où les infrarouges et proche infrarouge du soleil sont absents. Non seulement ces LED émettent des photons intrinsèquement nocifs, mais en plus leur nocivité est augmentée par leur utilisation désynchronisée par rapport au soleil qui dicte le rythme du Vivant sur Terre.

Les différentes longueurs d’ondes ont une action synergique

Les LED émettent des ondes pulsées non biocompatibles

Les LED fonctionnent en courant pulsé à haute fréquence, décrite en Hertz, qui correspond au nombre de périodes d’une onde par seconde, ce qui signifie que la lumière n’est pas émise de manière constante mais clignote rapidement, parfois à une vitesse imperceptible à l’œil humain mais pas par les cellules. Alors que lumière naturelle est continue, sans pic d’intensité offrant un flux constant d’énergie sans interruption. C’est ce type de signal (d’information) que souhaite recevoir nos cellules, pas un effet stroboscopique.

Cet effet stroboscopique active des dizaines, des centaines, ou des milliers de fois chacune de nos cellules (à commencer par nos photorécepteurs dans l’oeil et dans la peau), et ce à chaque seconde d’exposition. La lumière pulsée impacte aussi les rythmes circadiens qui sont calibrés sur les cycles continus de la lumière naturelle. Globalement, la lumière pulsée brouille les signaux envoyés aux photorécepteurs du cerveau.

Même si certains dispositifs LED permettent de réduire ces pulsations lumineuses en dessous du seuil de perception humaine, aucune LED n’est totalement exempte de ce scintillement (flicker).

Exemple de scintillement dans un centre commercial

Même si certains dispositifs LED permettent de réduire ces pulsations lumineuses en dessous du seuil de perception humaine, aucune LED n’est totalement exempte de ce scintillement (flicker).

Rien d’étonnant à cela, cette stimulation intermittente des cellules perturbe les cycles naturels de réponse biologique. Les effets immédiats comprennent, entre autres, des maux de tête, des migraines, une fatigue oculaire et même des crises d’épilepsie.

Les panneaux LED émettent des ondes électromagnétiques artificielles (basse fréquence et transitoires HF)

Mesures CEM-nn sur panneau LED

1- Les LED émettent un champ électrique basse fréquence au-delà des seuils à partir desquels des premiers effets biologiques sont constatés.

2- La modulation électronique des LED génère des transitoires de tension à haute fréquence (électricité sale) très élevés.

A une distance de 50 cm, l’organisme interagit avec les rayonnements des panneaux LED. Les cellules (dont le potentiel électrique est compris entre 80 et 90 mV) sont extrêmement sensibles à ces champs électromagnétiques artificiels.

Synthèse et conclusion

Pour l’effet synergique vous pouvez vous référer à l’article précédent pour tout comprendre, article ici.

Notre corps a besoin de la solution complète / totale et non d’une petite partie isolée.

À l’inverse les LED ne donnent que de la lumière VISIBLE, sauf lampe UV et lampe IR, avec beaucoup de longueurs d’ondes absentes.

L’utilisation des dispositifs de luminothérapie ont un coût d’opportunité :

Ils vous isolent des ondes électromagnétiques naturelles et du spectre solaire dont le rouge et le proche infrarouge sont toujours présents, même en hiver, même en présence de nuage, bien qu’ils soient en faible quantité.

Ils vous isolent des changements de température vitaux pour votre corps et votre esprit (en fonction de votre génétique et de la latitude à laquelle vous vivez) – c’est la raison pour laquelle la méthode Wim Hof marche pour de nombreuses personnes –

Ils vous éloignent de votre source d’énergie solaire, en vous faisant croire qu’une solution confortable, coûteuse, inefficace et risquée, fera des miracles.

La Nature est dure, et des sirènes vous font croire qu’en déboursant davantage d’argent, vous irez mieux en hiver, « lorsqu’il n’y a pas de soleil ».

Mais il n’y a pas de soleil parce qu’on vous en cache, et parce que vous allez moins le chercher que vos ancêtres.

Vos mitochondries, votre mélanine, votre hémoglobine, vos horloges circadiennes s’attendent à recevoir le rouge des ondes issues des photons naturels du soleil. Votre besoin est d’avoir les informations de ces ondes continues, évolutives et bio-compatibles avec l’homme ou femme bio-électromagnétique que vous êtes, pas des ondes issues d’une puce d’ordinateur.