L’être humain est fait de molécules d’eau et d’ions,  des particules électriquement chargées soumises aux lois de la biophysique d’attraction, de répulsion et de résonance. Ces champs électromagnétiques naturels sont cohérents, c’est notre énergie vitale, une symphonie permettant l’équilibre électro-biochimiques du corps. Sauf que, la multiplicité des fréquences artificielles déployée depuis 150 ans et leur caractéristique perturbent de façon exponentielle cet équilibre générant une multiplicité de troubles insidieux. 

Aujourd’hui, plus de 10.000 études indépendantes confirment la nocivité des champs électromagnétiques et leurs effets : maux de tête, acouphène, troubles du sommeil, anxiété, fatigue et maladies de civilisation. 

A l’heure actuelle, rares sont ceux qui ont conscience que les technologies sans fil altèrent leur santé. Faute des industriels et des pouvoirs publics qui continuent à se voiler la face malgré les preuves indiscutables rendues par le rapport Bioinitiative (une revue de plus de 1500 travaux de scientifiques indépendants) ou encore les conclusions inquiétantes de l’Etude Reflex.

L’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) a évalué récemment la prévalence des électro-hypersensibles à environ 5% de la population, soit 3,5 millions de Français touchés à des degrés divers. Dans notre environnement de plus en plus connecté, prendre soin de son hygiène électromagnétique est devenu un enjeu vital.